fenêtres sur l’invisible

fenêtres sur l'invisible

fenêtres sur l’invisible

la traboule de jour

la traboule de jour

la traboule de nuit

la traboule de nuit

début du parcours de l'oiseau

début du parcours de l’oiseau

peinture d'une des scènes de l'oiseau

peinture d’une des scènes de l’oiseau

installation

installation

résultat de nuit

résultat de nuit

résultat de nuit

résultat de nuit

support de la première scène du voleur

support de la première scène du voleur

résultat

résultat

découverte de la première scène

découverte de la première scène

l'escalier

l’escalier

l'escalier la nuit

l’escalier la nuit

l'escalier la nuit

l’escalier la nuit

l'escalier la nuit

l’escalier la nuit

la grille

la grille

derrière la grille

derrière la grille

derrière la grille

derrière la grille

la distribution des loupes

la distribution des loupes

retour des loupes, sortie du public par l'autre bout de la traboule

retour des loupes, sortie du public par l’autre bout de la traboule

installation interactive, fête des lumières
\\Lyon 5 au 8 décembre 2009

L’installation s’inscrit dans la traboule du 3/5 rue des Capucins. Elle révèle un monde invisible à l’œil nu, comme si les murs étaient habités.

Nous prêtons aux spectateurs des loupes qui diffusent de la lumière noire et font apparaître les dessins. Ensuite nous leur montrons le premier dessin et ils partent à la découverte de l’histoire en suivant les flèches. La première histoire nous emmène à la poursuite du voleur de coffre, la seconde propose de suivre le voyage d’un oiseau et de le retrouver dans chaque scénette.
Mais c’est avant tout l’imagination de chacun qui va donner sa cohérence aux petites fenêtres sur l’invisible que nous avons fait apparaître. Les deux parcours occupent la totalité de la traboule et sont habités par 28 dessins.

L’installation joue avec les détails, les bizarreries du lieu. Sur un escalier, apparaît l’escalier de nos petits personnages. Derrière une grille, on trouve une fenêtre donnant sur un tripot mal famé. Dans un angle de mur est appuyée une échelle…
Le parcours dans la traboule est lui aussi important, les flèches s’appuient sur ce qu’elles rencontrent, fils électriques, fissures dans le sol, limites de couleur sur la peinture murale, caniveau, etc. Des interruptions provoquent des interrogations, de la surprise.

L’installation a accueilli environ 4 000 visiteurs pendant les 4 jours, le public a été très content, parfois même enthousiaste. Il faut dire que la proposition, calme, à échelle humaine et participative, contrastait avec la plupart des animations de la fête des lumières.

Matériaux : peinture invisible fluorescente, loupes de lecture lumineuses modifiées.

Installation conçue par Alice Minier, illustrations de Cécile Hœzelle, régie et production Pierre Hœzelle

Plus d’images sur le site d’Alice Minier

Merci à Clémence, Dimitri, Caroline, Priscille, Cantor, Camille, Lorraine, Sarah

fête des lumières

Pierre Hoezelle plasticien artiste numerique et interactif